- 845 observations
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8
communes -
61
observateurs -
Première observation
1981 -
Dernière observation
2024
Titre | Auteur | ||
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Speciation in mountains: phylogeography and phylogeny of the rock lizards genus Iberolacerta (Reptilia: Lacertidae) | P.-A. Crochet, O. Chaline, Y. Surget-Groba, C. Debain, and M. Cheylan | ||
Description :
Date : 2023-12-20 |
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Répartition des lézards du genre Iberolacerta Arribas, 1999 (Sauria : Lacertidae) en France. 1/3 : le Lézard du Val d’Aran, Iberolacerta aranica (Arribas, 1993) | Gilles POTTIER, Claudine DELMAS, Adrien DUQUESNE, Julien GARRIC, Jean-Marc PAUMIER, Guillaume SFREDDO, Marc TESSIER & Julien VERGNE | ||
Description :
Date : 2023-12-20 |
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Observations du Lézard pyrénéen du Val d’Aran Iberolacerta (Pyrenesaura) aranica (Arribas, 1993) (Reptilia, Sauria, Lacertidae) dans le massif du Mont Valier (Ariège, France)... | Gilles POTTIER et Julien GARRIC | ||
Description :
Date : 2023-12-20 |
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Plan national d’actions en faveur des Lézards des Pyrénées (Iberolacerta aranica, I. aurelioi et I. bonnali) 2013 - 2017 | Gilles Pottier | ||
Description :
Date : 2023-12-20 |
Bethmale - Bonac-Irazein - Bordes-Uchentein - Fos - Melles - Seix - Sentein - Sentenac-d'Oust
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Nature En Occitanie (NEO)
Participation à 463 Observations
Part d'aide à la prospection : 54.79 %
Fiche organisme
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NEO Données Privées
Participation à 280 Observations
Part d'aide à la prospection : 33.14 %
Fiche organisme
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Association des Naturalistes de l'Ariège (ANA)
Participation à 101 Observations
Part d'aide à la prospection : 11.95 %
Fiche organisme
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SANS ORGANISME
Participation à 19 Observations
Part d'aide à la prospection : 2.25 %
Fiche organisme
Informations espèce
Comme chez les deux autres espèces d’Iberolacerta pyrénéens, l’écaille rostrale est en contact avec l’écaille internasale, ce qui n’est pas le cas chez le Lézard des murailles ni chez le Lézard vivipare (Zootoca vivipara). La tête des Iberolacerta présente en outre un profil "crocodilien" caractéristique (yeux saillants, museau étroit et bas), sensiblement différent du profil plus compact de P. muralis.
Peu remarquable et assez variable, semblable dans ses grands traits à celle de nombreux petits Lacertidae européens, la robe d’I. aranica combine un dos gris-brun à brun noisette et des flancs portant un bandeau sombre, à tendance brun-noirâtre, souligné par une bande plus pâle (gris-brunâtre). Ce bandeau sombre des flancs est à tendance unie, ou faiblement maculé de brun pâle. Il existe fréquemment un semis dorsal plus ou moins dense de taches foncées entre les bandes dorso-latérales (ces taches étant typiquement plus larges que chez I. bonnali), mais qui ne forment jamais de véritable ligne vertébrale comme chez le Lézard des murailles (qu'elle soit continue ou "en pointillés"). La queue est remarquablement uniforme, parfois bicolore à la base (poursuite latérale de la teinte foncée des flancs) mais toujours dépourvue de l'ornementation séquencée qu'on observe chez le L. des murailles (voir la page consacrée à cette espèce). La face ventrale est blanche (rarement jaunâtre et jamais orangée), avec souvent une zone noire sur la partie antérieure de certaines écailles. Quelques mâles présentent parfois des taches bleu pâle ténues sur les ventrales externes, plus fréquemment que chez I. bonnali. Le mâle reproducteur est plus massif que la femelle, sa robe est généralement plus contrastée et on note un net renflement dans la partie basale de la queue, dû à la présence des hémipénis.
L'écaillure revêt par endroits -surtout chez les mâles- un aspect métallisé plus ou moins notable, essentiellement sur les bras (nuances de cuivre, ou de bronze) ainsi qu'au niveau des bandes dorso-latérales (nuances d'or blanc, ou de platine), qui sont souvent bien plus larges que chez I. bonnali (caractère partagé avec I. aurelioi) et affectent parfois un aspect réticulé lorsqu'elles sont mêlées aux taches dorsales décrites plus haut. Ces nuances métallisées (inexistantes chez le L. des murailles) sont plus ou moins appréciables selon l'incidence de la lumière et ne sautent pas nécessairement aux yeux en toutes circonstances.
Les aires de répartition des différentes espèces d'Iberolacerta étant tout à fait distinctes et distantes, il n'existe aucun risque de confusion entre elles (encore faut-il connaître leur biogéographie...). Par contre, les confusions sont fréquentes avec le Lézard des murailles et, dans une moindre mesure, avec le Lézard vivipare, deux espèces très communes jusqu'à haute altitude dans les Pyrénées. Nous conseillons donc aux observateurs de joindre une photo lors de la saisie, via l'outil "Média" de Géonature Occitanie.